Visite de l’Ancien Grand Hospice
21 novembre 2022 | FLE
Dans le cadre de la Brussels Biennale-Neoclassic, le groupe de FLE avancé est allé visiter l’Ancien Grand Hospice le 03 octobre 2022. Le néoclassicisme émerge à la seconde moitié du 18e siècle et annonce une rupture avec la ville médiévale. Il prend son inspiration de l’antiquité gréco-romaine et se caractérise entre autres par des lignes géométriques, l’ordre et la blancheur. Il constitue aujourd’hui un élément majeur du patrimoine architectural bruxellois. Quelques apprenantes nous font part de leur expérience…
Lundi dernier on a fait une sortie avec notre professeure au Grand Hospice qui se trouve au centre-ville pour voir un type de bâtiment néoclassique qui a été construit en 1824. Et grâce à la guide qui a bien expliqué nous avons compris que le bâtiment était pour les gens âgés, les jeunes qui ne travaillaient pas, les malades, les paralysés et les mendiants. Elle a expliqué aussi la manière de construire du Néoclassique, horizontale et symétrique. Il y a beaucoup de formes géométriques (carré, rectangle, rond, arc). Et elle a raconté que le bâtiment était fermé pendant 26 ans. En 1850, ils ont ouvert les portes du bâtiment car il y avait beaucoup de gens. A l’époque actuelle, il y a des associations qui font des activités comme la cuisine, coiffeur, couture… L’état réfléchit pour faire dans le futur un logement social dans ce bâtiment.
Sanae et Amina
Lundi 03 octobre 2022, nous sommes allés visiter le Grand Hospice qui a été construit en 1824. C’est une grande maison avec beaucoup de figures géométriques, carré, rectangulaire… En 1824, quand quelqu’un n’avait pas de travail, il était enfermé dans ce grand bâtiment et n’avait pas le droit de sortir. En 1850, il y avait déjà beaucoup de problèmes de santé et beaucoup de monde donc ils ont décidé d’ouvrir les portes.
Angela et Mariana
Lundi passé, on a visité un bâtiment spécial ancien qui a un style néoclassique. Il y a beaucoup de lignes droites et des formes géométriques comme le rectangle. En 1824, on n’aimait pas les gens qui ne travaillaient pas. Quand on voyait des gens qui ne travaillaient pas, on les emmenait et ils étaient enfermés dans le Grand Hospice, tous ensemble : les gens âgés, les gens malades. Ils ne pouvaient pas recevoir de visiteurs et le directeur surveillait tout le monde.
Fatiha et Kaltouma